Les cinq candidats de l’opposition à l’élection présidentielle dimanche aux Comores, que le président sortant Azali Assoumani s’est dit « confiant » de remporter dès le premier tour, ont dénoncé « une fraude électorale » et des « bourrages d’urnes ».
« Comme en 2019, nous assistons à une fraude électorale d’Azali Assoumani en complicité avec l’armée », a déclaré lors d’une conférence de presse commune des cinq opposants, le candidat de l’opposition Mouigni Baraka Saïd Soilihi.