Au moment où la majorité des sénégalais prend leur mal en patience, espérant la tenue des élections présidentielles à la date prévue.
Au moment où les jeunes espèrent la libération du peuple sénégalais au soir du vingt-cinq février, pour construire un Sénégal nouveau.
Au moment où la femme sénégalaise, qui se bat pour défendre l’honneur, la vérité et l’intégrité de la gente féminine fuit le Maky espérant se retrouver dans les voies de la souveraineté et de la prospérité.
Au moment où les élèves et les étudiants ont perdu leur droit d’étudier, néanmoins espèrent à court terme un refondement du système éducatif…
Au moment où les instituteurs, les professeurs, les syndicalistes et les parents d’élèves croient à une fin de la récréation des deals au sein d’une République bananière, qui sacrifie l’avenir des apprenants.
Au moment où pauvres que nous sommes , ouvrons nos yeux et espérons voir la lumière de la prospérité demain dès l’Aube de la nouvelle ère.
Au moment où les « prisonniers politiques » sont prêts à jubiler au soir du vingt-cinq février enfin de souffler l’air de la liberté, après des détentions politiques pratiquement sans fondement.
Au moment où les familles des victimes des évènements politiques passés croient à la rétablissement de la vérité dès l’ère post-électorale.
Au moment où prennent fin la règne et la ruse du Maky qui ose ouvrir le feu sur son peuple, et banalise la mort des citoyens.
Au moment où siffle la fin d’un État désacralisé par les gens du Maky, enfin, le mensonge, la tromperie, l’égocentrisme, la rancune, le populisme, l’arrogance, la tricherie…y prennent plus place.
Au moment où se termine la règne du Maky qui se croit au centre du monde, et ne se soucie de rien, à part sa propre existence, sa famille et ses patrons (les occidentaux)
Au moment où s’éclipse le pouvoir d’un Maky qui tient ses anciens collaborateurs par ses petits doigts et ne veule plus les voir .
Au moment où s’annonce la fin du régime d’un Maky, qui met en quarantaine les autorités religieuses et, ne se soucie point de leurs avis experts et sacrés.
Au moment où les mercenaires venant du Métropole préparent leurs bagages pour rentrer ainsi bredouille vers leurs pays d’origines.
Au moment où les patriotes du pays ont espoir de ne plus voir ces soit disant députés qui chamaillent comme des perroquets, avec leurs postures mécaniques, transformant notre hémicycle à un champ de bataille.
Au moment où les patriotes sont prêts à élire un président ainsi qu’un gouvernement, qui défendront dignement nos institutions et, ne trembleront devant n’importe qu’elles puissances étrangères.
Au moment où, au moment où…
Ce stupide président qu’on appelle Maky, bafoue les règles du jeu en voulant faire reporter les élections annule la convocation du corps électoral.
C’est grave! ce manque de respect vis-à-vis du peuple sénégalais, à l’encontre de notre constitution, des lois et règlements qui sous-tendent notre cher Sénégal.
C’est grave ! ce je-m’en-foutisme de la part d’un Président tyran,qui met à genoux les institutions de notre République.Ce, en reportant indignement sur des bases illégales et illégitimes la date prévue pour les élections.
C’est grave ! cette majorité de députés mécaniques qui font le sale boulot du Maky. En voulant faire passer cette odieuse loi, ils avancent des opinions qui n’ont aucun fondement, si ce n’est pas des penchants pour satisfaire leurs besoins grégaires.
C’est grave ! ce forceps odieux temoignant la froideur et la lâcheté du Maky, qui n’a jamais reculé, afin de ne pas cracher du feu et du sang sur le peuple lorsque ses intérêts crypto-personnels sont menacés.
Que le Maky arrête !
Le peuple est souverain !